Contre l’oppression fiscale, la pression des contribuables
Contre l’oppression fiscale, la pression des contribuables
Contre l’oppression fiscale, la pression des contribuables
Contre l’oppression fiscale, la pression des contribuables
6 réponses
Très bien dit B. Perrin.
Trop de situations de confort prises en charge partiellement par de l’argent public.
Vous citez un bel exemple dans le monde sanitaire. Moi je cite souvent les classes primaires dédoublées dans les secteurs difficiles. Situation de confort aussi par exemple pour les affectations hors cadre dans la fonction publique, etc, etc, etc.
Dans tous les coins. Et revenir là dessus fait consensus dans la population. C’est du coup de rabot ciblé. Ca n’est pas honteux à pratiquer.
Et multiplié partout où ça a dérivé, par petites touches, ça fait de sacrés économies : c’est la solution ! Point besoin de grand soir, de grand débat, grand concave, grand chambardement qui va encore opposer les points de vue avec pleins de beaux discours qui ne vont rien faire avancer au final. On connait trop ça !
Le mieux est souvent l’ennemi du bien dit le proverbe.
Je n’ai jamais compris pourquoi le diabétique ( qui déjà est en ALD) qui n’a pas de problème visuel s’il est bien équilibré, a droit au VSL pour aller en consultation, et pas pour aller faire ses courses à son supermarché habituel…
Ou chez son coiffeur…
Injustice flagrante, non?7
D’un autre côté, ma mère qui en a réellement besoin a renoncé à demander un taxi pour ses consultations médicales et ses traitements car la procédure est trop compliquée pour elle, notamment au retour, et le nombre de taxis sanitaires apparemment insuffisant en région parisienne. Il semble que le transport sanitaire soit peu rémunérateur pour les taxis. Au-delà de la question du coût, le sujet mérite sans doute d’être élargi.
Pour les consultations, c’est le consultant qui fait le bon de transport, aller-retour. Il le fait aussi pour les soins qu’il prescrit. Il y a d’autres motifs que l’état général: pas de permis de conduire, pas de voiture, personne pour vous conduire, etc…
Bonjour,
Je suis atteinte d’une maladie rare génétique et effectivement j’ai droit aux VSL, d’autant plus que ma maladie ne se soigne pas sur mon département. Je suis donc surveillée et soignée par les hôpitaux de Bordeaux. Et il est certain qu’étant atteinte d’une maladie neuromusculaire dégénérative, je ne peux pas utiliser les transports en commun et la conduite est un exercice que j’arrive encore à pratiquer avec difficulté, d’autant plus que le moindre espace de stationnement est difficile à trouver et abusivement payant. Je n’abuse pas des transports sanitaires uniquement pour me rendre à Bordeaux. Les autres consultations médicales, bien que difficiles à obtenir, je paie un Taxi à mes frais pour m’y rendre ou je renonce aux soins. Et non, on ne peut pas utiliser un transport sanitaire pour se rendre chez le coiffeur ou faire ses courses. il faut un accord préalable du Médecin Conseil de la CPAM et les généralistes ne prescrivent pas à tord et à travers des transports sanitaires, au contraire.
La démographie contribue aux frais qui explosent, nous somme une population vieillissante donc ayant plus de pathologies diverses d’où des arrêts de travail fréquents, et des ALD plus nombreuses. De plus, selon nos pathologies, toutes ne sont pas prises en charge par les hôpitaux de proximités. Je ne vous parle même pas des personnes âgées en zone rurale, où le premier médecin ou hôpital est très éloigné de chez eux. Faire preuve d’un peu d’empathie ne nuira pas à vos discutions sur ce sujet.
J’ai été traitée en radiothérapie pour un cancer du sein. J’habitais à l’ouest de La Défense et l’hôpital se situait à l’extrême Est de Paris : 1h30 de transport (RER + métro). Je n’ai jamais pris de transport sanitaire. Seule exception pour la journée de curiethérapie afin de ne pas être bousculée dans les transports en commun en rentrant à 6 heures du soir.