Cette dette est un boulet mortifère : elle nous empêche de mener une politique économique efficace, elle condamne les Français à des impôts élevés et elle fait perdre de la souveraineté à la France car plus de la moitié de la dette est détenue par des étrangers.
Depuis 1974, tous les gouvernements, quelle que soit leur couleur politique, ont préparé et voté des budgets en déficit. Par la faute de nos dirigeants, l’État s’est mis à dépenser plus qu’il ne gagne et à vivre à crédit. La France n’a jamais profité des bonnes conjonctures pour assainir ses comptes. Conséquence, notre pays accumule depuis près de 50 ans un endettement devenu abyssal.
Avant la crise sanitaire et le grand plongeon de 2020, le montant officiel de la dette était de 2 380 milliards d’euros, cela fait plus de 35 500 euros par habitant.
La charge de la dette, c’est-à-dire le montant annuel des intérêts, est le deuxième poste de dépenses de l’État. C’est plus que le budget de la défense !
Mais ceci n’est que la face émergée de l’iceberg, le gouffre financier est en réalité encore plus effrayant. L’État a glissé sous le tapis des dépenses qu’il va devoir payer un jour ; ce sont les « engagements hors bilan », et il y en a pour plus de 4 000 milliards d’euros au total (à lui seul, le futur paiement des retraites des fonctionnaires et militaires s’élève à 2 265 milliards d’euros.)
Dette cachée + dette officielle, le vrai montant de la dette publique avoisine donc les 6 500 milliards d’euros, 100 000 euros par habitant ! Et ça c’était avant la crise du Covid-19…
Élus et administration endettent le pays, mais à la fin c’est vous qui payez leur incompétence. Et la crise est telle qu’il est à craindre que l’État se retourne contre les Français et ponctionne leurs avoirs et leur patrimoine. La spoliation votre épargne bientôt au programme…