Je n’ajouterai que quelques mots au magnifique portrait écrit par la présidente de l’ACIA Geneviève Frixon qui évoque si bien l’homme exceptionnel que j’ai eu la chance de connaître.
Gabriel Lévy n’était pas seulement pour moi le président et l’inspirateur d’une association locale de contribuables que l’on se plaisait à citer sans cesse en exemple à ceux de nos membres qui hésitaient à se lancer dans leur commune.
Il était à mes yeux la preuve qu’un homme honnête et enthousiaste peut contribuer à changer le monde. Ses succès dans sa modeste ville d’Aubagne nous donnaient du courage à tous : des étincelles qui peuvent faire naître un grand feu.
Et puis Gabriel Lévy et son épouse avaient une façon de nous recevoir, à la fois discrète, courtoise et généreuse qui faisait de chacun de mes déplacements à Aubagne une fête inoubliable.
Gabriel Lévy m’était devenu très proche même si l’on ne se voyait pas souvent et chacune de ses tribunes qui arrivaient sur ma boite courriel me semblait la lettre d’un ami.
C’est l’ami que je pleure aujourd’hui.