Contre l’oppression fiscale, la pression des contribuables

Une histoire de pain au lait… mangé à moitié par l’impôt

L’humoriste Michaël Youn a lancé une blague sur les réseaux sociaux sur le montant confiscatoire de l'impôt. Cette plaisanterie lui vaut les critiques acerbes de la députée Cécile Duflot et de la secrétaire d'État Axelle Lemaire.

Lancée sur les réseaux sociaux, la plaisanterie de Michael Youn lui a valu une avalanche de critiques.

La députée écologiste de Paris Cécile Duflot et la secrétaire d’Etat chargée du Numérique Axelle Lemaire s’en sont pris ouvertement à l’acteur pour rappeler la nécessité de l’impôt. Logique si on peut dire, car contrairement à l’humoriste, la députée et la ministre sont rémunérées grâce au contribuable et à l’argent public.

Sur toute la richesse produite en France, l’État en absorbe désormais 56,6% pour financer sa dépense publique (Source : OCDE).

Mais, pour donner la réplique à Michaël Youn, l’État ne s’arrête pas au pain au lait. Nous vous présentons le Tour de France de l’État glouton.

Nul doute que l’acteur, qui a interprété le rôle de chef gastronome dans le film Comme un Chef, saura apprécier !

  • La poule au pot, spécialité de Chartres, avant et après impôts
  • La galette et son cidre, spécialités bretonnes, avant et après impôts
  • La flamiche picarde, avant et après impôts
  • Le cannelé de Bordeaux, avant et après impôts
  • La quiche lorraine : une grande part pour l’État, la sécurité sociale, l’Union européenne, les collectivités… et une petite part pour le contribuable !

A l’occasion de chacune des réunions publiques de l’association Contribuables Associés, comme lors de notre prochain débat du 11 octobre 2016 à la Comédie Saint-Michel, nous avons l’habitude de distribuer le pin’s du demi-euro.

Avec Contribuables Associés, luttez pour la réduction des dépenses publiques, car trop de dépenses publiques c’est trop d’impôts, et contre les gaspillages scandaleux d’argent public !

 

Ce symbole illustre le poids de l’impôt dans notre vie de tous les jours : sur chaque euro gagné, l’État en prend plus de la moitié.

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