Contre l’oppression fiscale, la pression des contribuables

Charles Gave face aux contribuables

© contribuables associés
Charles Gave-Vidéo-Contribuables Associés
Charles Gave, entrepreneur, essayiste et président de l’Institut des Libertés, est venu à la rencontre des contribuables le 23 mai dernier.

Les impôts et leur utilisation, dépenses de l’État, dette, économie, bureaucratie, justice sociale…

Charles Gave nous livre sa vision de la France d’aujourd’hui  et ses réflexions pour moins de dépenses et plus d’efficacité.

Un entretien vérité, sans langue de bois qui soulève des questions d’importance majeure.

2 réponses

  1. Je partage l’idée de Ch. Gave selon laquelle le secteur public mange insidieusement, petit à petit depuis 40 ans le secteur privé. Et ceci à coup de dépenses et de dettes publiques qui s’accumulent. Toute action du quotidien de chaque français implique de plus en plus une entremise publique au point que les dépenses publiques représentent maintenant plus d’1 € sur 2 mis en jeu (nous en arrivons à 56 % de dépenses publiques sur PIB). Ce ratio est à réduire.
    Il faut urgemment réduire nos dettes publiques et la manière de le faire est de réduire l’interventionnisme public tous azimuts, savoir supprimer tout le public subalterne avec quand même veiller à préserver et même renforcer le régalien qui fonctionne de plus en plus mal.
    Petit point de détail divergeant sur le propos de Ch. Gave : une dette, ça n’est pas seulement des intérêts à devoir. Une dette, c’est 2 choses : 1>du capital, 2>des intérêts. On peut avoir des intérêts à zéro et donc un cout du crédit gratuit. Mais le capital lui demeurent…et s’accumule…et reste à devoir quoi qu’il arrive sauf à faire défaut. La question des taux d’intérêts ne règle pas le problème global.

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