Contre l’oppression fiscale, la pression des contribuables

Benoît Perrin sur Europe 1 : «Le problème de la France, c’est la dépense publique» [Vidéo]

Choc fiscal à venir ? Benoît Perrin, directeur de Contribuables Associés, répond aux questions de Dimitri Pavlenko dans la Matinale d'Europe 1, le mardi 1er octobre 2024.

« On a l’impression que les hommes politiques qui arrivent au pouvoir ne connaissent que deux mots : taxes et impôts. »

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3 réponses

  1. Les Français ont donné une liste des priorités pour ce gouvernement.
    La sécurité, augmentation les salaires, renvoyer les OQTF dans leur pays , idem pour les étrangers qui sont dans les prisons.
    Revoir et annuler le plus possible les aides de l’état pour certaines choses comme pour les journalistes, les associations qui nous coutent une fortune.
    Les aides aux pays qui ne nous aiment pas comme l’Afrique. etc.

  2. J’ajouterais volontiers à ce programme le fait de ne pas attribuer d’aide avec mes impôts aux partis politiques. En effet, je ne suis ni de droite, ni de gauche, ni d’aucun partis, je prends mes idées là où elles me conviennent et je trouve aberrant d’être obligée de soutenir des partis. Je veux être et rester libre.

  3. Monsieur Benoît PERRIN bonjour.
    Nombreuses sont les constations diverses. Nombreuses sont les manifestations à cet effet. Mais, ne pourrait-on pas porter une plus grande attention à nos représentants au parlement et au sénat.
    Comme vous savez, les députés sont élus dans des circonscriptions et les sénateurs dans des circonscriptions départementales.
    Ces élus sont-ils des représentants locaux ou des Français ? Naturellement locaux, puisque leurs votes impliquent de satisfaire leurs propres électeurs pour être rééligibles aux prochaines élections.
    Si chacun d’eux était élu par l’ensemble des électeurs, il représenterait réellement les Français. Chaque vote de projets ou de propositions de lois les inciteraient à mieux les analyser et voter avec discernement.
    Il reste leur implication à un parti politique, pour une majorité, qui les conduit à respecter les codes afin d’obtenir leur recherche. Leur réélection et le financement de leur campagne électorale.
    Lors des élections présidentielles, les candidats qui obtiennent 5% ou plus d’électeurs sont remboursés de leur frais de campagne. Pourquoi ne pas être adoptés pour les parlementaires et sénateurs ?
    Des solutions existent. Mais seront-elles appliquer ? Non, assurément, cela représentent des inconvénients qui nuiraient aux attentes.

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