Contre l’oppression fiscale, la pression des contribuables

Le financement des syndicats [Sud Radio]

Les syndicats continuent à s'enrichir grâce à l'argent public alors qu'ils perdent des adhérents. Paradoxe ? Benoît Perrin, directeur de Contribuables Associés, était l'invité d'André Bercoff pour en débattre sur Sud Radio, le 5 mai 2025.

7 réponses

  1. Bonjour ,
    Il faut supprimer la cotisation salariale de 0.16 % prélever sur les salaires et reverser au syndicats .
    Ils ne nous représentent pas , ce sont pour la plupart des gauchistes .
    Déjà , avec la cotisation du syndiqué qui peut déduire 66 % de la cotisation dans ses impots , c’est nous les citoyens qui payons pour eux
    Il faut tout supprimer , vous voulez être syndiqué , vous payer votre cotisation ;point
    cordialement
    daniel

  2. Le financement des syndicats par les entreprises, cela s’appelle de la corruption. A qui profite le crime ? à l’Etat mafieux. Au moment de la réforme des retraites, les syndicats ont fait en sorte d’étaler les manifestations au maximum, afin que les gens se lassent.

  3. Merci Mr PERRIN pour toutes ses infos, vous êtes toujours excellent même si vous avez gâché ma journée. Et dire que j’étais prélevée sur mon salaire pour les syndicats sans m’avoir demandé mon accord. Maintenant les syndicats ce n’est plus ce que c’était, ils sont trop politisés et c’est peut-être pour ça que le nombre d’adhérents diminue. A quand la suppression du régime de la SNCF qui nous coûte cher surtout la branche retraite : ils partent à la retraite entre 50 et 52 ans pour les roulants et 55 et 57 ans pour les autres y compris ceux qui travaillent dans les bureaux et en plus leur retraite est calculée sur les 6 derniers mois et non sur les 25 meilleurs années comme dans le privé. Ils sont protégés un max par la CGT ce qui garantie à ce syndicat de bloquer le pays quand ils le veulent, et tout ça avec notre pognon puisqu’ils ne vivent que de subventions de l’état.

  4. Le train, c’est un truc de citadins. On ne peut pas faire arriver le train dans chaque village. Ni même dans chaque ville petite, voire moyenne. Il y a les services de ville et les service de campagne. C’est comme ça depuis la nuit des temps. Pour le train, les commerces, les toubibs, spécialisés ou pas. La ville n’est pas la campagne. La campagne n’est pas la ville. Les villes à la campagne et l’inverse c’est une belle formule à A. Allais mais ça s’arrête là. Et subventionner la SNCF à raison de 10 à 20 milliards €. par an, on n’en a pas les moyens. Quant aux syndicats, vivre de prélèvements obligatoires à 90 % ou plus, non. Il doit y avoir là comme ailleurs réduction des subsides publics en périodes de vaches maigres.
    Et une subvention directe ou une taxe ad-hoc sur la feuille de paie, voilà encore un système bien facile pour s’assurer une rente de situation pérenne.
    Et on s’étonne après d’avoir les prélèvements obligatoires les plus élevés de la planète…

  5. Quand la puissance public prendra en compte les réflexions pertinentes de milliers de français qui donnent leurs avis pertinents sur la situation catastrophique de notre pays ? cela fait des années que les syndicats tapent dans la caisse !

  6. les grands syndicalistes travaillent pour eux-mêmes et non pour le travailleur … y compris dans la police , j’ai pu le constater , on est représentant pour avoir le galon sans passer le concours … et à chaque grande réforme , on donne plus d’indices aux gradés qu’aux gardiens …

  7. Bravo, prélèvement obligatoire sans avoir sollicité l’accord des Citoyens, à supprimer d’urgence pour ces gens non représentatifs des Citoyens, qu’ils aillent chercher des cotisations, mais les Citoyens n’y croient pas à leur efficacité socialo-coco, qui coûtent cher ; c’est du vol et de l’escoquerie ! Il faut appliquer le principe juridique dit de PROPORTIONNALITE, jurisprudence CJCE Schräder.
    De même que leur représentativité au sein des conseils dits de prud’homme et des commissions de premier recours dites TASS…
    Ils travaillent à la mutualité donc sont partiaux dans leur jugement !

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