Contre l’oppression fiscale, la pression des contribuables

École primaire : l’addition salée d’un naufrage pédagogique

© Joanna Dorota /Shutterstock
Un rapport à charge de la Cour des Comptes publié le 20 mai dresse un constat alarmant de la situation de l'école primaire et de son coût dévastateur pour les contribuables.

Résultats scolaires en chute libre et dépenses en hausse constante. Les sages de la rue Cambon pointent une gestion défaillante et décernent un zéro pointé à l’efficacité du système éducatif français.

Les élèves français de CM1 ferment la marche de l’Union européenne en mathématiques et figurent parmi les moins performants en français, note la Cour. Plus inquiétant encore, la proportion d’élèves brillants s’amenuise, tandis que le poids des déterminismes sociaux s’alourdit.

Le « niveau des élèves est inacceptable », martèle la Cour des comptes, bien qu’ils profitent d’un temps d’apprentissage des « fondamentaux » supérieur à la moyenne européenne.

Au-delà de ce diagnostic alarmant, maintes fois posé, la gestion financière du 1er degré est mise au pilori.

Alors que la démographie scolaire accuse une baisse significative, la dépense publique suit une courbe opposée.

En 2023, rappelle la Cour, la dépense totale pour l’école primaire est estimée à 55,1 milliards contre 52 milliards d’euros en 2022.

Une dépense 2022 financée à hauteur de 20,1 milliards d’euros (auxquels s’ajoutent 8,9 milliards d’euros au titre des pensions de retraite de ses agents) par l’État.

Une addition à laquelle se cumule celle des contribuables locaux (19 milliards d’euros en 2022), sans compter des investissements spécifiques dans les bâtiments scolaires du 1er degré, qui se sont élevés à 3,6 milliards d’euros durant la même année.

Beaucoup d’argent dépensé pour pas grand-chose.

École primaire : échec des réformes 

Les Sages rappellent au passage « l’échec cuisant » de la réforme du quinquennat Hollande, tentant d’imposer la semaine de 4 jours et demi sans impact probant sur les résultats, et son coût considérable pour les collectivités.

Un rappel doublé d’une allusion claire à la « convention citoyenne » sur les horaires scolaires voulue par Emmanuel Macron qui démarrera le 20 juin, ainsi qu’aux surcoûts qu’elle pourrait provoquer.

Face à la décrue des effectifs, la Cour préconise de « systématiser les regroupements pédagogiques ou les regroupements d’écoles ».

Cette proposition fait écho à un rapport de Matignon d’avril 2024 suggérant la fermeture de quelque 2 000 écoles. Principalement en zone rurale, pour « rationaliser les taux d’encadrement ». Ce qui avait déclenché l’ire de syndicats et d’élus locaux redoutant une désertification des territoires.

La Cour demande également une refonte du statut du directeur d’école. L’actuelle « absence de statut limite les actions du directeur en matière de pilotage, tant sur le volet des ressources humaines que sur le volet budgétaire », explique le rapport.

Les magistrats financiers recommandent d’harmoniser la fonction de directeur à temps complet en s’inspirant du modèle des chefs d’établissement de l’enseignement privé sous contrat, de véritables « cadres dirigeants » même si cette réforme produit des coûts supplémentaires en termes de décharges et de salaires.

Le rapport soulève enfin la question de la mixité sociale, rappelant avec un lourd sous-jacent idéologique, que les écoles privées sous contrat (14% des élèves du primaire) devraient être mieux associées à cet objectif.

Ce rapport de la Cour des comptes met en lumière un sujet sur lequel Contribuables Associés s’était penché il y a déjà 1 an. Nous avons donc la confirmation des observations que nous avions faites dans notre étude n°46 sur l’école.

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Lire notre étude sur l’école 

38 réponses

  1. Pourquoi ne revient-on pas en arrière : avant la révolution des imbéciles de mai 68 ?
    Merci de votre attention
    Françoise VAULET – 57150 CREUTZWALD

    1. C’est ce que l’on fait! Et c’est pour cela que de « meilleure » école au monde, on était même étudié par plusieurs pays dont le Japon, on baisse sans arrêt!!! Vous voulez donc que le niveau baisse encore plus? C’est bien ce que vous voulez dire?

    2. Il est vrai qu’avant Mai 68, nous apprenions bien dans nos écoles, qu’elles soient publiques ou privées. L’enseignement, notamment des Langues, était cadré, clair, net et précis. Et lorsque j’ai découvert, à travers mes propres enfants, la nouvelle manière d’enseigner, je me suis arraché les cheveux !!! Plus tard, j’ai moi-même enseigné le Français à des adultes en difficiltés et, malgré les consignes, j’ai toujours gardé mon Bled sous le bras….

      1. bravo Madame, Mr et Mme Bled avaient créé un petit livre qui a permis à des générations d élèves , de ne faire aucune faute d’orhographe, en apprenant chaque jour une page de règles d’orthographe. Eh oui, on n’en est pas mort !! et je remercie encore mon professeur de collège qui nous faisait faire une dictée tous les 2 jours. Allez, ce petit livre bleu doit coûter aujourd’hui moins de 10€ , pour un résultat d’excellence et que d’économie pour l’état au lieu de gaspiller des millions dans des ordinateurs aux résultats hasardeux . Ce ne serait que du bon sens , ce qui manque à nos politiques d’aujourd’hui avec ce « nivellement par le bas « !

  2. Quand va t on enfin utiliser les vieilles méthodes des maîtres que nous avions qui se faisaient un point d’honneur de n’avoir dans leur classe que des enfants ayant réussi le certificat d’études. Et à cette époque ce certificat valait certainement autant que le bac d’aujourd’hui, tellement ce dernier est dévalorisé. Je connais des personnes dans ce cas qui ont une orthographe remarquable, qui écrivent de belles lettres avec une jolie écriture, et qui savent encore calculer de tête. Oui mais à cette époque, on travaillait en classe, on allait pas faire des sorties extrascolaires, on apprenait pas à trier les poubelles ou aprendre à savoir si on est un garçon ou une fille. L’école était jusqu’au samedi matin. Et je n’en suis pas mort.

    1. En réponse à Vernet.
      Très juste. Je suis passé par cet enseignement d’une merveilleuse époque où nos instituteurs de campagne avec leur blouse grise( comme les nôtres) avaient à coeur de nous inculquer leur savoir et de nous amener à la réussite du certificat d’études. Un diplôme qu’un bon nombre de bacheliers de l’époque actuelle seraient bien incapables d’obtenir.
      Ces enseignants disparus depuis longtemps vivent encore dans mes souvenirs.
      Cordialement, M. Vernet. ( Tiens, j’ai un gendre qui correspond à ce patronyme.)

    2. À l’école primaire en 1958 en Région Parisienne, il y avait école le samedi après-midi.
      Nous faisions nos devoirs à l’étude.
      Quand nous rentrions chez nous on pouvait allé jouer dehors

  3. La catastrophe a commencé lorsque les inspectrices spécialisées en maternelle ont été remplacées par des inspecteurs de primaire. Ils ont alors décidé de traiter les enfants de maternelle en  » matière scolaire », faisant appel à l’intelligence logico-mathématique chez des enfants qui sont en construction intérieure. Nous les cassons donc dès leur plus jeune âge. Quant à la suite, elle est le résultat de toute cette idéologie de gauche qui nous tue depuis 50 ans.L’école qui se doit d’être un terrain neutre pour permettre à l’enfant d’apprendre et de se construire de manière épanouie est complètement politisée avec des petits fonctionnaires égoïstes qui ne pensent qu’à eux-mêmes alors qu’ils devraient être portés par le devoir et la passion d’avoir entre les mains le destin de tous nos enfants et de notre pays. ( Une ancienne institutrice)

    1. Bravo, Madame. L’idéologie gauchiste, et pire encore, islamo-gauchiste et wokiste, en voulant imposer ses idées subversives et anti France, a oublié les enseignements fondamentaux. De plus, le métier d’enseignant n’attirant plus, certains professeurs sont recrutés avec des niveaux déplorables, voire catastrophiques!!!

    2. Vous avez raison ! J’ai moi-même dû apprendre à mes petits-enfants la règle du participe passé qui était claire nette et précise ! Et j’ai utilisé le « rabachage » si décrié actuellement MAIS je suis fière de savoir que mes petits-enfants connaissent cette règle par coeur et s’en servent régulièrement

  4. c’est la gauche qui détruit tout sur son chemin et notre droite extra molle ne fait rien ou et complice

    1. En fait vous n’en avez rien à faire du débat, vous avez juste besoin de vous défouler: faites de la boxe, cela calme

  5. Un document confidentiel du plan Langevin-Wallon explique comment faire progressivement évoluer les programmes scolaires afin de déboucher sur de nouvelles générations d’adultes incapables d’élaborer un jugement personnel.
    Ceci explique cela.

    1. C’est tout à fait cela. Nos universités avaient historiquement, dans leur genèse, en plus de transmettre des savoirs , le rôle de favoriser les débats dans un cadre contradictoire, afin de stimuler la réflexion, de développer l’esprit critique et l’art de la rhétorique. Mais le rouleau compresseur de l’idéologie wokiste islamo-gauchiste est passé par là, interdisant toute idée non conforme à la doxa. Leur obscurantisme dogmatique conduit des générations entières à l’abrutissement et à la panurgie… Sciences Po en est le parfait exemple @!!

    2. Ca, je veux bien le croire! On nous dira que les programmes suivent l’évolution de la société! Mais la société va mal, et on ne met aucun espoir sur la relève, au contraire: on éteint l’émergence des intelligences multiples qui pourtant sont bien présentes chez nos jeunes enfants!

  6. Merci pour votre étude un constat catastrophique qui se profile depuis des années et nous les contribuables nous payons sans pouvoir exiger quoi que ce soit c’est tout simplement du racket

  7. Je ne vois pas pourquoi accorder aux directeurs d’écoles publiques le statut des directeurs d’écoles sous contrat entraînerait des coûts supplémentaires.
    Au contraire ces derniers ne bénéficient pas des mêmes avantages que les premiers : décharges, logement de fonction, etc…

    1. Bonjour! Il y a belle lurette que le logement de fonction n’existe plus dans l’éducation nationale. À part peut-être pour une poignée d’instituteurs ayant refusé de devenir professeurs des écoles…

  8. Bonjour
    Je ne vois que des commentaires de haine.
    L’école a baissé depuis 1980, année où la pédagogie a été retiré de l’école normale pour mettre des professeurs de l’université. COMME TOUT LE MONDE LE SAIT: LE SAVOIR SE TRANSMET COMME UNE MALADIE, PAS BESOIN DE SAVOIR FAIRE.
    Depuis le niveau n’a cessé de baisser. Cela a été aggravé par la mise en avant des « fondamentaux » or la réussite scolaire dépend de l’épanouissement de l’enfant et son ouverture d’esprit.
    En favorisant les matières « créatives » ou « philosophiques » (comme peut l’être l’histoire), on intéresse l’enfant, on le fait sortir des déterminismes sociaux et on enlève les blocages psychologique. C’est l’héritage des précurseuses -seurs pédagogiques du début du XXè siècle e de mai 68. C’est pour cela qu’avant 80, nous étions parmi les meilleures écoles.
    C’est toutes les réformes depuis 80 qui ont sapé la pédagogie et fait baisser les niveaux: cela a été pire à chaque réforme depuis

  9. J’étais fils d’enseignant très à gauche (pléonasme). Jusqu’à l’âge de 22 ans je pensais qu’il n’y avait qu’à produire plus de billets de banque pour le bonheur de tous. Un jour je suis devenu chef d’entreprise, tous mes préjugés ‘gauchos’ se sont fracassés contre la dure réalité économique. Depuis lors je considère que la ‘bien-pensance’ gauchiste, si pratique pour se faire élire et réélire, est le pire danger de notre pays. La chute est lente mais irrémédiable à moins que nos mollusques de droite un jour se réveillent du sommeil complice dans lequel ils sont tombés depuis la disparition du grand Général. Il avait vu venir toute cette ‘chienlit’ depuis les années 50.

  10. Ce qu’il faut, c’est attirer vers l’école élémentaire des gens extrêmement intelligents. Cela ne peut se faire que si on accepte l’idée qu’un instituteur (je tiens à ce vocable) est aussi important qu’un ingénieur ou un cadre supérieur. Que cela tienne à une meilleure rémunération, je n’en suis pas sûr. C’est essentiellement une question de pensée générale, un jugement collectif. Quant à la réforme du statut des directeurs d’écoles, voilà donc la nouvelle élucubration sans avenir ni intérêt vouée à l’échec assez rapidement. S’il y a parmi ses adjoints de jeunes personnes ayant un cerveau, on va créer des conflits destructeurs, nuisibles à l’intérêt des enfant. Il faut changer l’état d’esprit du pays, c’est à dire trouver une idée qui fasse nation justement. A la façon de Renan, ce dernier concept se définit non pas par la langue, non pas par le territoire, non pas par l’histoire mais par la volonté de faire nation. L’ultra-égoïsme, le repli sur soi, l’individualisme de tous nous dirigent vers un effondrement de plus en plus douloureux dont des gens comme les Russes ou les Chinois, les Américains font leurs choux gras. On se fout des besoins des autres, de l’avenir, c’est-à-dire des enfants, pour ne penser qu’à sa petite planète personnelle. Et pour ceux qui s’imaginent qu’un retour vers le passé serait salvateur, ils sont dangereux dans un monde moderne qui se dirige vers plus de technologie et d’affrontements. L’informatique, la mécanisation, le progrès, vous voulez mettre fin à tout cela et couper votre bifteck avec une lame de silex? « On ne commande à la nature qu’en lui obéissant » Bacon, lui, ne divaguait pas! Qui va nous trouver cette idée qui impulse les états d’esprit en France? Nos ancêtres avaient trouvé « Liberté, Egalité » pourrons-nous encore apporter quelque chose? Trouvez des idées nouvelles!

  11. L’éducation nationale massacre l’intellect des enfants précoces, les mentalités des profs sont désastreuses : maltraitance, humiliation verbale et physique, exclusion, certains parents d’élèves exigent de voir leur enfant en tête de peloton et j’en passe et des meilleurs, aucune pédagogie, aucune psychologie rien de rien. L’éducation nationale c’est la honte.

  12. Chaque année le constat est catastrophique mais aucune amélioration ne voit le jour.
    La question est : POURQUOI ?
    Les ministres de l’Education se succèdent aussi incompétents les uns que les autres dans quel but :
    – éviter que nos enfants puissent acquérir une culture diverse et variée tant au niveau des matières de base (mathématiques, français ) que des matières de connaissances générale (Histoire, géographie,etc) . Non ils préfèrent inculquer des connaissances qui jettent le doute (suis-je une fille ou un garçon ou …). alors que cela relève du PERSONNEL………
    Alors qu’ il est malheureusement reconnu : que pour diriger un peuple moins il a de connaissances et plus il est malléable …. D’où ma question : POURQUOI ? Dans quel but ?

  13. Lisez, ou relisez « 1984 » d’Orwell, vous verrez, malheureusement, où nous allons, et où nous sommes déjà !

  14. Lisez, ou relisez « 1984 » d’Orwell,
    Vous saurez ainsi vers où nous allons,
    et où nous sommes déjà !

  15. Pour manipuler le peuple, il faut l’abêtir!!!!
    Baisser le niveau des enseignants, et but ultime; 90% de bacheliers.
    Des ministres non responsables et protégés par l’immunité.
    Et enfin, la cour des comptes qui ferait bien de faire les siens!!!!!

  16. Il me semble que le problème, tel que je le perçois dans vos réflexions, n’évoque pas un aspect qui me parait fondamental. C’est toute une société qui n’a pour seul but que le plaisir et le divertissement au sens propre « quoiqu’il en coûte ». Ceci lié à la prolifération des écrans (TV, portables, tablettes) qui rend chacun plus spectateur qu’acteur de sa propre vie. La réflexion profonde est vécue comme fatigante, la frustration comme le pêché originel. La société ressemble au tableau de Dali « les montres molles ». L’école ne changera pas si le moteur interne de chacun ne change pas!

  17. Tout à fait d’accord, il faudrait revenir aux méthodes d’enseignement post 68, remettre un peu de « distance » entre l’enseignant et l’élève, enseigner la morale, le respect et l’instruction civique car pour aimer son pays il faut savoir comment il fonctionne. Je vois aussi que dans mon village les enfants du CM1 et CM2 font des séjours découvertes à la mer, à la montagne…qu’ils ont des rencontres avec des auteurs, des illustrateurs, des plasticiens, qu’ils ont des séances de cinéma, des spectacles musicaux… qu’ils font les vendanges, qu’ils visitent des musées, un zoo…. tout cela je l’approuve et je suis pour l’éveil total des enfants, mais je me demande s’ils ont encore le temps de suivre le programme scolaire, d’apprendre à lire (et à le comprendre) à compter, à acquérir un libre arbitre.

  18. Une bonne façon de réduire le déficit public concernant l’enseignement :
    Réhabiliter l’École Publique et Laïque :
    Les fonds publics uniquement destinés à l’Enseignement Public.
    L’Enseignement Privé (même sous contrat ) ne doit être financé que par des fonds privés.
    Abolition totale de la loi DEBRÉ.
    Pour assurer le bon fonctionnement du Service public d’éducation : un plan d’urgence :
    le recrutement massif de personnels formés spécifiquement ( réhabiliter les Écoles Normales d’Institutrices et d’Instituteurs), limiter le nombre d’élèves à 25 par classe, et asurer le remplacement des enseignants absents par des personnes qualifiées.

  19. L’école est devenue une usine à gaz qui forme des bourricots. A force de niveler par le bas, on finit pat obtenir une nouvelle espèce d’incultes. De plus, les enseignants sont de pire en pire, j’ai 69 ans et quand je vois l’école de mes petits-enfants je suis abasourdi. Je ne veux pas jouer les vieux croulants, mais dans les années 60 quand j’étais en primaire il y avait plus de temps de cours et moins de vacances. On allait à l’école les lundis, mardi, mercredi, vendredi et samedi de 8h30 à 11h30 et de 14h00 à 17h00, soit 30 heures par semaine, plus l’étude du soir, gratuite, de 17h15 à 18h15 sauf le samedi. On arrivait en fin de CM2 en sachant lire, écrire et compter correctement, aujourd’hui les jeunes de 10-11 ans font des fautes d’orthographe et de grammaire inimaginables, ne connaissent pas le calcul mental, et je ne parle pas des conjugaisons. C’est un scandale, il faut tout remettre de niveau, en commençant par les enseignants et cesser les modifications inutiles, comme déterminant à la place d’article et autres inventions du même genre.

  20. C’est unanime ! On voit que les témoignages, de gauche comme de droite, sont concordants. Quelques-uns font sourire, comme Lemaire, il est dans le vrai mais ce vrai est une utopie, la politique de ce pays ne peut pas accéder à ses propositions. Celui de Sollier aussi est intéressant, il montre l’irresponsabilité de nos dirigeants, on le voit avec la nouvelle ministre de l’éducation, Mme Borne, qui veut que les élèves de maternelle choisissent déjà ce qu’ils veulent faire plus tard !!! Qu’on commence par leur donner une instruction solide avec des enseignants responsables et capables.

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