» Face à cette spirale absurde, une question se pose : veut-on une France qui encourage la prospérité, l’innovation et la création d’emplois ? Ou une France qui, par une fascination quasi maladive pour la fiscalité, s’obstine à repousser ceux qui pourraient réellement contribuer à son dynamisme économique ? Si cette taxe au doux nom d’«impôt minimal différentiel» venait à être adoptée, elle ne serait pas seulement une erreur. Elle serait une caricature de la politique fiscale française : punitive, contre-productive et parfaitement fidèle à notre réputation de champion du matraquage fiscal. Un beau gâchis en perspective. «
Contre l’oppression fiscale, la pression des contribuables